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Réunissez sexe et nouvelle technologie et vous aurez des réactions. À l‘époque victorienne, les gens étaient scandalisés à l’arrivée du téléphone car les femmes – qui étaient chaperonnées en permanence – pouvaient éventuellement parler avec des prétendants en privé. Depuis dix ans, l’internet a été censuré et les contenus réglementés pour une multitude de raisons, mais la principale invoquée par les gouvernements sur tout le spectre geopolitique est le sexe – ou «les contenus sexuels préjudiciables ».
Mais alors que le secteur du sexe pour adultes en ligne représente 12% des pages web, internet sert aussi à exprimer et explorer toute sorte d’expériences, de relations et de contenus sexuels que l’on ne peut pas considérer comme “préjudiciables”. Comme ce conteu préjudiciable et le comportement rélié au sex en ligne peut être un element déclencheur pour l’intervention de l’État ou autre, APC mène une recherché sur la façon don’t les gens dans différentes parties du monde utilisent l’internet, en ce qui concerne le sex.
Premiers résultats
> Qui a peur du gros méchant internet libanais?
> Les Sudafricans utilisent un site web communautaire transgenre pour “pratiquer” leur nouvelles identités
> Le filtrage des contenus dans les bibliothèques américaines est aléatoire
Autres ressources [en anglais]
> Introduction aux premiers résultats: From the ‘J’ spot to the cru’X’ of the matter
> Brazil: Internet regulation and the Brazilian EROTICS context
> India: ‘Does your mother know?’ Agency, risk and morality in the online lives of young women in Mumbai
> EROTICS – Literature Review
> EROTICS – Policy Review
Équipe de recherche EROTICS
> Brésil : Sonia Onufer Corrêa, Marina Maria Ribeiro Gomes da Silva et Jandira Queiroz e Cavalcanti (Sexuality Policy Watch) et Bruno Dallacort Zilli, Horacio Federico Sívori et Anna Paula Uziel (Centre latino-américan sur la sexualité et les droits humains, CLAM)
> Inde : Manjima Bhattacharjya and Indira Maya Ganesh (chercheures indépendantes)
> Liban, avec un élément comparatif avec l‘Égypte : Nadine Moawad (chercheure indépendante)
> Afrique du Sud, chercheures : Jeanne Prinsloo, Relebohile Moletsane et Nicolene C. McLean (Rhodes University, Grahamstown)
> États-Unis : Melissa Hope Ditmore et Kevicha Echols (Sex Work Awareness)