afrique centrale
Tandis que le nombre d’internautes en Afrique augmente, la question de l’infrastructure continue d’être un problème en Afrique Centrale car le gouvernement peut exclusivement gérer les câbles SAT-3 et EASSy – ce qui doit changer, rapporte Sylvie Niombo depuis le Forum sur la gouvernance de l’internet à Douala.
Près de 150 personnes prennaient part au Forum sur la gouvernance de l’internet en Afrique centrale à Douala, au Cameroun. C’est une « approche inclusive et participative de la gouvernance de l’internet », a déclaré le directeur de l’Agence nationale des technologies de l’information et de la communication (ANTIC) du Cameroun, en ouverture.
Quelle position l’Afrique centrale va adopter au Forum de la Gouvernance de l’internet (FGI) en Afrique? Pour emprunter à l’expression de Justine Diffo Tchunkam, enseignante à l’Université de Yaoundé II, l’Afrique centrale a une vision commune, mais pas de position commune en matière de réglementation du secteur des TIC.
«On n’a pas encore en Afrique la nette conviction que l’internet peut améliorer la qualité de la vie, et permettre plus facilement de trouver des solutions aux problèmes de développement», peut-on lire sur le site web du Forum sur la gouvernance de l’internet en Afrique centrale, événement se déroulant à Douala du 29 au 31 mai 2012.